Dans la faculté des sciences et de la technologie la recherche n’est pas en reste. Des laboratoires agréés sur lesquels s’adossent non seulement les formations de master mais aussi des formations doctorales ainsi que des projets de recherche universitaire et des projets à caractère national et innovant. Une grosse population de doctorants y active sous la houlette de ceux qui, hier, ont relevé le défi technologique.
Aujourd’hui, le désert industriel a reculé. Le signe le plus probant en est ce complexe protéiforme de Bellara, à côté d’El Milia, où s’érigent à grande vitesse usines et centrale d’énergie électrique. La faculté des sciences et de la technologie entend accompagner son développement et se nourrir de ses réalisations et de sa prodigieuse modernité. Déjà, un groupe de travail s’attelle à mettre en place un master intégré professionnalisant en métallurgie à recrutement national sous-tendu par une convention de partenariat conclue avec la principale entreprise de ce site. Déjà, de nombreux étudiants en fin de cursus, y dessinent leur futur dans le cadre motivant de stages d’immersion dans le milieu professionnel. Déjà, le fruit de la formation de notre faculté, qui a su se faire une place dans l’encadrement technique ou administratif, y confronte ses acquis aux paradigmes de la compétitivité internationale.
Le pari des pères fondateurs est déjà gagné.
Professeur Mohamed Rachid Mekideche